Achat d'une broyeuse pour provende


Mise en place d'un microcrédit

Ayant permis, pour quelques familles, d'investir dans :

- l'élevage de poules pondeuses, de cochons, vaches à lait ;

- la fabrication de balustrades. de briques ;

- une tireuse numérique ;

- un commerce de produits locaux.


Culture maraichère

Les habitants d'Ankadivoribe avaient pour habitude d'organiser un travail collectif entrant en synergie sur une parcelle puis faisant le tour de toutes les parcelles des villageois à cultiver. Mais cette pratique s'est éteinte compte tenu du coût élevé des semences et du manque de temps.

 

Ainsi, dans l'objectif de rentabiliser les terres et avec l'aide financière de l'association MEO, la Commune d'Ankadivoribe programme chaque année, la culture de pommes de terre sur 50 a et d'haricots sur 50 a, ainsi que la création de pisciculture avec environ 50 aleçons.

 

Les personnes concernées par cette aide, notamment les paysans les plus pauvres, ont décidé de garder une partie de la récolte pour la prochaine plantation et l'autre partie est partagée.

 

Une aide régulière a permis de pérenniser deux emplois d'agriculteurs.


Travaux d'épuration de puits

En 2008, l'association MEO a permis la réalisation de travaux d'épuration de 3 puits endommagés, répondant aux besoins prioritaires présentés lors du passage de nos représentants dans la Commune d'Ankadivoribe.

 

Jusqu'alors les villageois buvaient de l'eau sale et donc non potable, puisque les puits n'étaient pas protégés. En période de pluie, la situation était encore plus catastrophique car l'eau de pluie sortait et rentrait des puits.


Travaux de soutènement du bureau du Fokontany d'Ankadivoribe

En 2008, le Maire d'Ankadivoribe nous présentait également l'état des aides financières aux villageois, quasi inexistantes, pour financer les derniers travaux relatifs à la construction du nouveau bureau municipal.

 

Notre association a donc financé entièrement les travaux restant à réaliser, à savoir les travaux de soutènement très particuliers : les racines d'un très gros arbre ("aviavy") manaçaient de renverser le nouvel édifice.